Entre zéro et l'infini l'histoire d'amour dure le temps qu'il faut. Le temps qu'on peut, le temps qu'on se laisse ou que le destin nous laisse.
Un divorce après 3 ans de mariage, notre protagoniste essaie de retrouver les joies de la vie de célibat, mais pour conjurer ses blessures finit par rédiger une diatribe misoginique en guise de livre coup de gueule. Livre publié anonymement.
C'est là que tout commence. L'histoire avec sa belle cousine (dans les deux sens). Marc et Alice vont ainsi se découvrir et recouvrir le sens de ce qu'il n'avait au fond qu’effleuré dans leur vie conjugale précédente.
De ces écrits Marc va peu à peu revenir à ce qu'il avait tant décrié, le poème de W. Shakespear :
L'amour ne s'altère pas en heures ou en semaines,
mais survit jusqu'à la pointe de la fin du temps.
Et si ceci est faux et qu'on me le prouve,
je n'ai jamais écrit, et personne n'a jamais aimé.
mais survit jusqu'à la pointe de la fin du temps.
Et si ceci est faux et qu'on me le prouve,
je n'ai jamais écrit, et personne n'a jamais aimé.
C'est la révélation de l'identité de l'auteur de "l'amour dure que trois ans" qui fera tout voler en éclat.
Ce film étonnamment drôle bien qu'émouvant. Frédéric Beigbeder semble avoir trouvé le ton juste pour aborder une question intime si délicate. Au fond il n'y a pas de standard de vie, de même pas plus de choix que de chance pour qu'il soit véritable ou pas.
Note : 7/10
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